Chez Déborah

Chez Déborah

1789 en 2013 : chapitre 2

Seuls quelques personnages et l'histoire m'appartiennent. Le reste est au jeu "amour sucré"

Chapitre 2 : Un rêve ? Un cauchemar oui !

Bip, bip, bip…

Rah !!! C’est quoi encore ce bruit ? Ah oui ! Mon réveil…

Je saisi mon téléphone, réglé pour m’embêter dès le matin, et éteignit la sonnerie. Alors que je descendais prendre mon petit déjeuner, toujours un peu dans les nuages du rêve brumeux que je venais de faire, je stoppais net en plein milieu de l’escalier. Non mais c’était quoi ce rêve ? Balancée en plein dans « amour sucré » ? Je sais que ce jeu est génial et que j’y suis totalement accro mais il y a une limite quand même ! Il faut que je fasse une pause… Hier, en anglais, on a parlé de la « turn off week ». Ou étais-ce avant-hier ? Toujours est-il que l’idée d’arrêter toute la technologie pendant une semaine est plutôt bonne, pour moi en tout cas ! C’est décidé ! Je vais me faire une petite semaine sans ordinateur ! Lena, ma meilleure amie, n’aura qu’à me connecter/ déconnecter une fois par jour…

Forte de cette nouvelle bonne résolution qui devait s’avérer nulle et non-avenue d’ici cinq minutes, moment où j’allumais la télévision, je descendis enfin, sous les grognements réclamatifs de mon estomac, prendre mon petit déjeuner. Une fois tout mon petit rituel du matin achevé (se réveiller, prendre une bonne résolution, la rompre dans les cinq minutes, manger, faire ma douche), je partis au lycée…

Non mais ce n’est pas vrai ! Je suis encore en train de rêver ou quoi ! Me revoilà devant Sweet Amoris ! C’est avec une mine plus ou moins (surtout plus) consternée que je franchis le portail (rose bonbon) de l’établissement. Et devinez qui je rencontre en premier ? Bingo ! Ambre  et ses chiens-chiens ! J’en peu déjà plus… Ce jeu est sympa mais seulement en virtuel ! Bien que rencontrer les garçons pour de vrai… Ne nous égarons pas !

Alors que ces pensées tourbillonnent dans ma tête, à la vitesse de la lumière et de l’éclair, Ambre me parle :

-C’est sympa cette photo ! Maintenant tout le monde va pouvoir voir à quel point tu es moche !’ dit-elle avant de partir d’un grand éclat de rire et de partir tout cours d’ailleurs ! Sans oublier de me bousculer, bien entendu !

Je regarde la photo qu’elle m’a tendue : c’est la photo que j’ai dû fournir à Nathaniel pour le dossier d’inscription. Je suis normale, à part peut-être la petite moustache à l’italienne, les lunettes de « physicien fou » et les insultes misent en gros au feutre noir dans une bulle dans l’intention évidente et pathétique d’imiter une bande dessinée… Mon téléphone bip.

« Nouvel objectif : se plaindre de Ambre auprès des trois garçons. »

Génial ! Mon poignet me donne mon argent et mon téléphone un but dans la vie ! Pfff. Je veux rentrer chez moi !

En soupirant, je me dirige vers la salle des délégués, où je trouve Nathaniel. Et alors là je ne sais vraiment pas ce qu’il s’est passé mais Nathaniel m’a posé une question et dans ma tête trois phrases se sont affichées ! Automatiquement, mon cerveau a sélectionné la bonne et le lov’o’meter du beau délégué à carrément décollé ! Bah ça ! C’est encore mieux que dans le jeu ! Ça veut dire que qui que soit le garçon en face de moi, je peux le séduire ! Même si je suis au meilleur feeling avec Castiel je peux avoir Nath ! Trop cool !

Alors que la conversation se terminait sans que je ne m’en rende compte, le dernier mot fut prononcé et… Nathaniel disparu ! Comme dans les films vous voyez ? Il est là e d’un coup il est plus là ! Trop bizarre ! S’en est trop pour mon pauvre petit cœur qui s’affole totalement dans ma fragile petite poitrine de sensible petite jeune fille…

Mes pieds me dirigent vers la cours. Je devine : prochaine étape Castiel. Et ce fut le cas. Le même scénario qu’avec Nathaniel mais avec notre tomate nationale. Et ainsi de suite… J’eu le droit à Ken put re à Ambre et enfin à la dirlo, qui me fit choisir un club. Je pris le club basket (pour Dajan, il est vraiment trop mignon !). Aidée de Castiel, je trouvais les cinq ballons et bla, bla, bla…

Chez moi, enfin, j’allumais la radio et écoutais la musique non-stop jusqu’au diner, réfléchissant à ma journée. C’est vraiment étrange. Pourquoi ce rêve s’éternise-t-il autant ? Je sais que j’ai déjà fait ce genre de songes mais jamais aussi détaillés et aussi long ! Et puis, je me sens si fatiguée…

Alors que Nathalia entonne le refrain de « je veux le monde », je m’endors comme une souche sur mon canapé en cuir d’époque.



03/11/2013
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